Rouen : La phase de préfiguration du projet de SERM lancée

Le lancement du projet de Service express régional métropolitain (SERM) s’est déroulé lundi 30 septembre, en présence d’élus locaux concernés par le projet et d’acteurs de la société civile, notamment association d’usagers et d’associations de protection de l’environnement.

(c) Adobe stock
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Le lancement du projet SERM a eu lieu lundi 30 septembre, en présence de Jean-Benoît Albertini, préfet de la Région Normandie et du département de la Seine-Maritime, Jean-Baptiste Gastinne, vice-président de la Région Normandie en charge des Mobilités, des Transports et de l’axe Seine, Nicolas Mayer-Rossignol, président de la Métropole Rouen Normandie, Bernard Leroy, président de la communauté d’agglomération Seine-Eure, Anne-Céline Imbaud-de-Trogoff, directrice du développement des transports territoriaux de la Société des grands projets, Vincent Palix, directeur territorial Normandie de SNCF Réseau, et Baptiste Oberlin, directeur régional Normandie de SNCF Gares & Connexions.

À cette occasion, l’équipe de préfiguration a rappelé l'ambition du projet à renforcer les mobilités du quotidien. Elle a aussi mis l’accent sur les missions et les jalons de la phase de préfiguration, qui s’inscrit dans le cadre des travaux démarrés en 2026 par le Comité d’Orientation Stratégique des politiques multimodales et ferroviaires métropolitaines.

Durant une période de 14 mois, cette équipe sera chargée de mettre en œuvre un schéma d’ensemble du SERM dans le but d’établir un plan de financement et un schéma de gouvernance. Rappelons que lors de la phase de préfiguration, un dossier de synthèse du projet va être déposé à l’automne 2025, auprès du ministre délégué chargé des Transports.

Pour renforcer la transition écologique du territoire

Labellisé par le ministère des Transports, le projet de SERM de Rouen a pour vocation de répondre aux besoins des habitants en matière de mobilité du quotidien. Il vise à renforcer le service ferroviaire et la disponibilité de moyens complémentaires de déplacement (cars express, covoiturage, vélo...) sur un périmètre de plus de 2 400 km2.

Le projet, qui canalise plus de 300 000 emplois sur 270 communes, contribuera à renforcer la transition écologique du territoire.